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Mariée, enceinte de 5 mois,elle couchait avec son patron libanais Jiji Kasire

Complexe affaire d’adultère et d’escroquerie à mariage
L’effarant récit d’un mari qui découvre l’infidélité de
son épouse après deux mois de mariage
Complexe affaire d’adultère et d’escroquerie à mariage entre le centre-ville de Dakar, Boukhou et Bandia : un homme la trentaine dépassée découvre au bout de deux mois de mariage que sa tendre moitié le trompait avec son patron libano-sénégalais. Et le comble, c’est de savoir que sa femme avec qui elle n’a fait que deux mois d’union était en fait en grossesse de 5 mois. Même si le ciel lui tombait sur la tête, le mari cocu a eu les ressources de prendre son mal en patience pour collecter les preuves de l’infidélité de son épouse, la confondre, en faire de même avec le patron de sa femme qui le cocufiait. Et pour couronner le tout, il a froidement déroulé sa stratégie de vengeance en balançant ses preuves à l’épouse du patron de sa femme, hier. Un récit décoiffant !
« Je me suis marié à K. D. le 14 juillet 2022 dans une localité située dans la commune de Diass. Tout allait bien. Je voyais vraiment, en elle, la concrétisation de mes rêves. Celle de fonder une famille. Après notre mariage, nous nous étions entendus sur une chose : Chaque week-end, on allait soit dans mon village, soit dans le sien, soit ensemble à Dakar. Tout cela était respecté, au début. Mais, il est arrivé, des moments où, quand nous étions ensemble, je voyais qu’elle recevait beaucoup d’appels. Des appels qu’elle préférait ne pas prendre. Je lui ai donc conseillé de changer de numéro pour, au moins sauvegarder son ménage. Je lui ai même acheté une autre puce. Mais, elle m’a dit clairement qu’elle n’entendait pas changer de numéro. Pour éviter la polémique, j’ai gardé le silence pendant quelques temps. Et puis, je lui ai dit : ‘Ma chérie, ton refus de changer de numéro de téléphone fera ton malheur. Tu es en train de commettre des erreurs. Et c’est pour te préserver que je t’ai payé cette puce. Mais, tu préfères ne pas m’écouter’. Je l’ai alors mise en garde.
La découverte des escapades et la collecte des preuves de l’infidélité de son épouse
Le samedi 27 août, elle devait venir chez moi à Dakar. Quand elle est arrivée, j’en ai profité pour scanner son WhatsApp. Tout le weekend, je ne faisais que l’observer. C’est là que j’ai su que ma femme me trompait avec son patron. Et que cette même journée du 27 août, à 7 h 17 du matin, son patron lui avait envoyé un émoticône représentant un ‘bisou’. Elle lui a renvoyé la même image. Son patron, ressortissant libanais, lui a alors dit : ‘Ta chatte me manque !’ Elle : ‘Ah bon ?’. Elle lui envoie une audio : ‘Ecoute, je veux un billet pour Boukhou j’en ai parlé à Mme, mais elle ne m’a rien dit. Je veux aller au village’. Après avoir reçu l’audio, son patron lui a envoyé une photo de son sexe. Elle : ‘Quelle photo !’ Lui : ‘Je veux te b…’. Ils se sont vus après et ont eu des rapports sexuels. Il lui a remis 20 000 F, après, pour son ticket de transport lui permettant de se rendre au village.
Après avoir rassemblé toutes les preuves, j’ai voulu la faire avouer. Je lui ai lancé des ballons de sonde avec des questions insidieuses. Je lui demandais alors ce qu’elle pensait de Sitor Ndour qui est déjà à Reubeuss après avoir tenté de coucher avec sa domestique ? Qu’est-ce qu’elle pensait des non Sénégalais qui couchaient avec leur femme de ménage ? Elle me répondait que seules les femmes de mœurs légères faisaient de telles bassesses. Et qu’une bonne musulmane ne devrait jamais faire cela. Elle avait même précisé que cela était formellement interdit par la religion.
Une semaine après, c’est-à-dire, le 1er septembre dernier, je l’ai convoquée chez moi pour lui faire savoir que j’étais au courant qu’elle me trompait avec son patron. Ce jour-là, je lui ai d’abord fait écouter un morceau de Abdou Guite Seck intitulé ‘Coup d’Etat’ avant de lui dévoiler tout ce que j’ai découvert. C’est par la suite que je lui ai montré les images de sa conversation avec son patron et le pénis et même les appréciations de celui-ci. Tout en lui racontant le fil du dialogue ; leurs ébats, etc. Elle a pleuré plus de 5 heures et a même menacé de se suicider. J’en ai profité aussi pour lui demander pourquoi elle me trompait. Et ce tout en sachant que jamais elle ne pourra donner les raisons qui l’ont poussé à commettre l’adultère avec son patron.
Je lui ai fait savoir que je comprenais maintenant pourquoi elle ne voulait pas entendre parler de rejoindre le domicile conjugal, préférant dormir chez sa patronne et coucher avec l’époux de celle-ci … pour des miettes.
La rencontre avec le patron de sa femme, les suppliques du mis en cause
Elle continuait de pleurer. Je lui ai alors demandé : est ce que je méritais d’être cocufié ? Je lui ai rappelé avoir toujours été fidèle avec elle. Je ne lui avais rien caché de mes ex-copines et de nos aventures. Cette nuit-là, après l’avoir vu se calmer, je lui ai alors dit qu’il nous revenait de gérer les choses, entre nous. Mais, à une condition : Qu’elle aille prendre tous les bagages qu’elle avait chez son patron. J’avais alors décidé de l’amener chez moi dans mon village où elle allait séjourner pendant un moment, le temps que je règle la situation avec son papa. J’ai choisi de l’emmener dans mon village pour avoir une totale mainmise sur elle et en profiter pour rassembler davantage de preuves. Chez moi, j’étais convaincu qu’elle n’allait pas bouger.
Une semaine après, on est le 8 septembre, je suis entré en contact avec son patron. Je me suis fait passer pour un journaliste. Je lui ai dit que j’avais un dossier sextape le concernant et que je cherchais à avoir sa version des faits. Je lui avais ensuite proposé de nous voir au plus tard dans l’après-midi de ce jour-là dans un restaurant en centre-ville. Il m’a promis de me confirmer avant 16 h. Mais, c’est à midi que j’ai finalement reçu son coup de fil. Il a voulu changer de lieu de rendez-vous et m’a proposé la corniche. Chose que j’ai refusée. On s’est finalement vu audit restaurant à 16 h. Il était déjà sur place avant l’heure. J’ai accusé un retard de 12 mn. Il m’a même rappelé. Quand je me suis pointé, nous nous sommes salués. Il a offert un cocktail. C’est ensuite que je lui ai montré les échanges, la photo de son sexe… il pleurait comme une madeleine. Par la suite, il m’a demandé pardon et m’a supplié de le couvrir du voile de la pudeur (saang ko sutura).
Je lui ai aussi montré le numéro téléphone de sa femme pour lui montrer que j’avais bien fait mes investigations.
Il a voulu jouer au plus malin avec moi. Comme pour me piéger, il m’a demandé de lui donner une solution à ce problème. Je lui ai dit que je n’en avais pas. Et qu’il n’a qu’à se débrouiller seul. Je lui ai aussi rappelé qu’il avait fait de l’adultère avec la femme d’autrui et que le parquet a été saisi d’une plainte. Mes preuves sont incontestables.
Après cette rencontre, je suis retourné au village. J’étais toujours dans cette logique de garder le silence tout en assumant mes obligations d’époux. Elle était en état de grossesse de 5 mois alors que nous n’étions mariés que depuis 3 mois. Après, un séjour de 45 jours chez moi, j’ai vu qu’elle était toujours dans des mensonges et des magouilles. La preuve, le jour où elle est allée récupérer ses bagages chez son employeur, elle en avait profité pour raconter à son patron tout ce qui s’était passé. Elle avait même menacé son patron de tout avouer à sa patronne s’il ne lui donnait pas de l’argent. C’est alors qu’il lui a remis 200 000 F. Chose qu’elle ne m’a jamais dite. C’est après avoir recoupé l’information que je lui ai demandé s’il avait reçu de l’argent de son boss ? elle a dit non. J’ai insisté et lui ai posé la question. Elle a fini par avouer avoir reçu 200 000 F et dit avoir tout confié à sa tante domiciliée à la Médina. J’ai pris la peine d’aller voir cette dernière et lui ai tout raconté de vive voix. Sa tente a catégoriquement nié avoir reçu cet argent supposé lui être confié. Elle a pleuré cette nuit-là.
La froide vengeance du mari cocu : il balance tout à la femme du patron de son épouse
De retour au village, j’ai créé une confrontation avec elle et lui ai demandé, encore une fois, où se trouvait l’argent. Elle ignorait que j’ai été voir sa tante. Elle a persisté dans ses mensonges. J’ai fini par lui demander d’appeler sa tante pour confirmation, mais elle a catégoriquement refusé de passer cet appel. J’ai insisté et elle a fini par l’appeler. Sa tante a dit qu’elle revenait en ce moment-là de son village. Il était à peu près 23 h, elle nous a demandé 10 mn le temps qu’elle se repose un peu. Mon épouse, elle, ne voulait pas rappeler. Je voyais dans ses yeux, la peur. Elle tremblait. Je savais qu’elle mentait encore. Je lui ai dit que, même s’il était 2 h du matin elle allait passer le coup de fil pour joindre sa tante. Elle a fini par échanger avec sa tante. C’était devant moi, mais j’ignore ce qu’elles se sont dites. Elle a pleuré toute cette nuit-là.
Nous étions toujours dans mon village. C’était le week-end. Je suis retourné à Dakar, le lundi. Et 48 heures après (mercredi 12 octobre), j’ai rencontré son père et lui ai fait part de tout, avec des preuves à l’appui. Il était estomaqué. Je voyais qu’il mourait de honte et de déception. Il n’avait pas trouvé de mots pour qualifier ce que sa fille a fait. Je témoigne que son papa est un homme bon et très gentil, un homme honnête, sérieux et responsable. Je lui ai dit que je passais l’éponge et que j’avais accordé mon pardon à ma femme. Il m’a manifesté sa surprise et m’a dit qu’il s’attendait à ce que je répudie sa fille.
Le vendredi 14 octobre, mon beau-père m’a appelé vers 19 h et m’a demandé de lui ramener sa fille. Le samedi soir, nous y sommes allés elle et moi. Les parents y étaient, mon parrain et le sien. J’ai retracé tout le film et à ma grande surprise, ma femme a tout nié. Elle dit que je racontais des contrevérités et que tout ce que je détenais ne venait pas de son téléphone. J’admets que j’ai été très surpris de la voir me démentir. Je lui ai ordonné d’arrêter de mentir. Sa maman n’a dit aucun mot, au moment où je leur montrais mes preuves, même le sexe du patron de sa fille. Je leur ai fait écouter les audios. Je me suis rendu compte que ma belle-mère ignorait tout de ces preuves que je détenais. C’est ce jour-là que je lui ai rappelé ses 45 jours chez moi sans que personne ne sache quoi que ce soit. Je lui ai dit que je m’attendais qu’elle assume son tort devant ses parents et présente ses excuses pour qu’on avance. Mais au lieu de cela, elle m’a défié. Ce qui est inconcevable. Et comme elle était enceinte de 5 mois, les parents ont rompu nos liens vu que ce mariage a été scellé alors qu’elle était en état de grossesse.
Je rappelle que du début à la fin, j’ai couvert du voile de la pudeur, leur enfant. Je l’ai toujours soutenue malgré tout ce qui s’est passé. Je rappelle que je détiens des vidéos de mon épouse, de son patron et leurs audios. C’est après cela que le lundi 17 octobre, j’ai collecté les photos et les éléments sonores et en ai fait une vidéo. Dans la vidéo, il y a les aveux dans lesquels elle demande pardon. Je signale que j’ai tenu à publier cette vidéo et ensuite faire cette confidence pour montrer que je ne suis coupable de rien dans cette histoire et que je suis blanc comme neige. Aujourd’hui (ndlr : hier), nous sommes le jeudi 20 octobre, j’ai contacté la patronne de mon épouse et lui ai révélé que son époux est un adultérin qu’il couchait avec ma femme. Ensuite je lui ai balancé toutes les preuves qui montrent les escapades de son époux avec ma femme. Aux dernières nouvelles, leur couple a volé en éclats ».

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